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Stage D'aikido avec Me Hamid Silem

Le centre cutlutrel d'El Menzah 6, organise les 23, 24 et 25 décembre 2011, un stage international d'aikido sous la direction du maitre algérien Hamid Silem (6ème Dan). 

Date & Lieu : 
 23, 24 et 25 décembre 2011
Salle de Gym du centre cutlutrel d'El Menzah 6 -Tunis 


Horaires : 
ٍVendredi soir : de 19h à 21h
samedi : de 10h à 12h  (enfant uniquement)
samedi après midi : de 15H30 à 17H30
dimanche matin : de 09h à 12h


Frais de participation : 
10Dt 

La différence entre l'Aikido traditionnel et le Tomiki Aikido

Le shodokan est une école d'aïkido qui a été fondée par maître Kenji Tomiki (1900-1979). Le Shodokan réunit les techniques de l'aïkido et la structure didactique que Jigoro Kano (dondateur du Judo) utilise pour l'enseignement du Judo. Il est enseigné à l'heure actuelle au Japon ainsi que dans de nombreux pays du Monde y compris en Tunisie.

Les différences principales entre le système Shodokan et l'aïkido traditionnel sont :
* la pratique des compétitions ;
* l'apprentissage d'enchaînement de kata ;
* l'absence de hakama.

Il existe trois disciplines de compétition :
1. Embu kata
2. Tanto randori
3. kongo dentai sen

pour Plus de détail, cliquez ici

Ci-après quelques vidéos...








L'Aïkido dans La Presse nationale

Auteur : Habib KACHOURI


«A u début, j’étais réticente à l’idée de pratiquer cet art. Je n’en avais jamais entendu parler auparavent, qui plus est, je suis une fille. Cependant, après avoir fait quelques séances, je me suis rendu compte que, fille ou garçon, vieux ou jeune, l’aïkido ne fait aucune distinction. Grâce à cela, j’ai commencé à avoir davantage confiance en moi, non pas uniquement au dojo, mais aussi dans mon quotidien», déclare Salma, 22 ans, étudiante.

Créé en 1930, par Morihei Ueshiba et reconnu au Japon en l’an 1940, l’aïkido a traversé le temps et les continents pour finalement rejoindre les rivages de la Tunisie. Cet art martial, constitué uniquement de techniques de défense, est devenu, depuis près de 10 ans, l’une des sections faisant partie de la Fédération tunisienne de judo. Cependant, rares sont ceux qui en ont entendu parler ou qui lui montrent de l’intérêt. Le fait est que, pour certains, un art martial où l’on n’attaque pas n’en est pas vraiment un. Mais c’est là toute l’erreur, car même s’il n’y a pas de combat, les techniques de défense enseignées sont méticuleusement étudiées, afin de briser ou, mieux encore, rendre nulle l’agressivité des adversaires sans pour autant leur infliger ou s’infliger à soi-même des blessures pouvant être graves. Toutefois, en suivant cette logique de pacifisme, on en déduit que dans cet art, il n’existe aucune compétition. C’est ce point qui a fait que l’aïkido soit resté dans l’ombre pour la plupart des gens.

Ce sport est un ensemble de techniques dont la majorité est complexe et difficile à apprendre. Toutefois, avec un bon niveau, elles pourraient sauver la vie de n’importe qui face à n’importe quel type d’agression. Comme l’a si bien confirmé le maître Nebi Vural (6e dan en aïkikai, l’une des dérivées de l’aïkido) lors de son dernier stage en Tunisie en avril 2010, en disant : «Il est normal de recevoir des coups lorsqu’on pratique le karaté ou le Taekwondo. Par contre, ce qui n’est pas normal c’est d’en recevoir alors qu’on pratique l’aïkido puisqu’on est censé être intouchable». Mais pour vraiment le devenir, Vural-Sensei a émis la condition que quels que soient notre niveau et notre âge, il faut toujours continuer à s’entraîner.

L’entraînement en aïkido consiste en une répétition d’une technique bien précise, qu’elle soit à main nue ou nécessitant une arme, jusqu’à ce qu’elle soit parfaitement assimilée pour ensuite passer à une autre ou bien à une amélioration de l’ancienne. Ceci dit, on pourrait croire que cette répétition peut mener à une routine lassante, mais ce n’est pas ce que pensent les aïkidokas qui préférent utiliser le terme «affûtage» plutôt que «répétition». Pour eux, cet apprentissage leur permet d’affûter leur reflexe, d’aiguiser leur esprit et de travailler leur corps par la même occasion.

«Au début, on est lent. On commet des erreurs et on a honte. Mais après un mois, on commence à constater notre évolution. Nos réflexes augmentent, on devient plus réceptif et on arrive à assimiler et à refaire facilement et rapidement les techniques qu’on trouvait trop compliquées ou difficiles. Mais bien sûr, on n’ y arrive pas toujours, on peut compter sur l’aide des anciens. Comme il n’existe aucune édition, il n’existe pas de plus fort ou de plus faible. On est tous pareils et on s’entraide. Cela crée une atmosphère presque familiale», confirme Mustapha, 17 ans, lycéen.

N’étant pas uniquement un art martial, l’aïkido est aussi une école de discipline, où les maîtres mots sont respect et tolérance face à autrui quels que soient son âge et son sexe. Tout se déroule dans une parfaite harmonie et suivant un code qu’on ne brise pas. L’odeur de l’encens qui purifie la salle et l’esprit, la prosternation et le respect face au maître, l’énergie libérée lors de l’entraînement, tout cela forme le rituel de l’aïkido, dont la signification du mot n’est autre que «la voie de la concordance des énergies». Un rituel dont la magie opère sur l’âme et la personnalité de quiconque qui le pratique, le rendant plus confiant et plus zen mais aussi à l’affût et prêt à faire face à n’importe quelle situation.

Aujourd’hui en Tunisie, l’aïkido est enseigné dans différents gouvernorats : l’Ariana, Mahdia, Sfax... Aussi, la Fédération tunisienne de judo, organise-elle, chaque année, un planning de stage en coopération avec les différents gouvernorats mais aussi à l’échelle internationale, notamment avec l’Espagne et la Turquie. Ceci dans le but de propager cet art qui préconise la paix, la tolérance et l’esprit de fraternité, et de rapprocher l’Orient de l’Occident à travers des événements où tout le monde est vainqueur.

Source : Article paru dans La Presse Jeune du samedi 20-11-2010
web site : http://www.lapresse.tn/

Regroupement D'aikido

Quelques souvenirs du regroupement qui a eu lieu ce vendredi 12 novembre 2010, avec le club d'aikido du centre culturel d'El Menzah 6.

Les spécificités de l’Aïkido par Christian Tissier

J'ai pu lire dernièrement une interview intéressante du grand maitre français Christian Tissier (7ème Dan) paru au Tsubaki Journal et dans laquelle vous pouvez découvrir des éclaircissement sur l'originalité de l'aïkido par rapport aux autres arts maritaux, l'intérêt du travail des armes, ainsi que l'avis du maitre Tissier sur plusieurs grand maitres d'aïkido.

Voici quelques extraits de l'interview...

Quelle est selon vous la spécificité de l’Aïkido, qu’est ce qui le démarque des autres pratiques martiales ?
Il y a plusieurs points distincts. D’abord il y a le côté éducatif. L’Aïkido est un système d’éducation avec un support qui est l’art martial.
Ensuite il y a le côté technique. En Aïkido il y a des principes et des qualités. Les qualités sont plus du domaine de l’inné alors que les principes sont du niveau de l’acquis. Les réflexes sont une qualité, on l’a tant mieux, on ne l’a pas, tant pis. Le shisei par contre est un principe. La vision, la distance qu’on résume par ma-aï, c’est un principe. La recherche d’efficacité maximum avec le minimum d’efforts est un principe. Pour que l’Aïkido fonctionne il faut donc que tous ces principes soient présents. Plus ils le seront, plus la technique tendra à la perfection.

Le point important différenciant l’Aïkido de la plupart des arts martiaux est que les principes sont les éléments essentiels d’une technique et ne peuvent pas être remplacés par le travail des qualités. On ne peut pas se satisfaire d’une technique qui marche de manière relative grâce aux qualités physiques que sont la force ou la rapidité.

Il y a enfin l’aspect spirituel. Nishio disait que l’Aïkido était le yurusu Budo, le Budo du pardon. Et c’est ça, plus encore que tout le reste qui est une spécificité de l’Aïkido. La notion de respect de l’intégrité. La sienne bien sûr, mais surtout celle du partenaire.

La recherche de l’Aïkido est celle du geste pur en dépit des contraintes que sont les attaques des adversaires dans le respect d’une éthique aux aspirations élevées. Car même si la plupart des Budo préconisent de n’agir que pour se défendre, l’idée de le faire en préservant son partenaire est spécifique à l’Aïkido.

Est-ce que vous considérez que le travail des armes fait partie intégrante de la pratique de l’Aïkido ?
Fondamentalement, non. Mais je vais développer mon point de vue. A l’Aïkikaï comme vous le savez il n’y a pas de cours d’armes, point final. Il y a quelques bokkens si on veut faire quelques suburis mais il ne faut pas en faire trop et surtout éviter de travailler à deux.

Mais moi j’ai toujours été très intéressé par l’esprit du ken, cette façon d’aller droit dans l’action spécifique du kenjutsu, non circulaire. Et j’ai eu la chance d’être formé en kenjutsu par Inaba senseï au Shiseïkan.

Mais je ne considère pas qu’il est nécessaire de faire des armes pour faire de l’Aïkido. C’est bien d’en faire aussi dans la mesure où c’est un support ludique qui apprends à gérer une autre distance. Mais on peut en dire autant de la boxe ou des disciplines pieds-poings. Ce sont des supports qui peuvent apporter quelques chose, qui sont intéressants qui mais ne sont pas l’essence de l’Aïkido.

J’enseigne toujours le ken dans les stages d’une semaine parce que ça intéresse beaucoup de monde mais c’est un plus, ce n’est pas l’essentiel. Je n’ai rien contre ceux qui développent des systèmes d’armes, mais l’Aïkido c’est l’Aïkido. Les armes ça peut en faire partie mais on peut très bien avoir quelqu’un qui n’a jamais fait de ken de sa vie et qui fait de l’Aïkido correct avec exactement les mêmes sensations.

Est-ce que vous pensez que l’Aïkido doit évoluer dans sa forme et ses techniques ?
Oui, comme toute chose, un Aïkido qui n’évolue pas c’est un Aïkido mort. En Aïkido les techniques de base sont des katas. Et il est indispensable que tout le monde apprenne ces bases fondamentales. Ensuite il y a les applications. Et à partir de là, et bien heureusement, il y a des gens qui vont aller toujours plus loin. Qui vont créer, inventer, avoir une idée plus fine de la chose et la faire évoluer. C’est pour ça je pense que Osenseï n’a jamais dit que l’Aïkido était fini.

Quand je vois ce que des gens comme Yamaguchi senseï ont amené à l’Aïkido au niveau de la liberté je trouve ça exceptionnel. Si on part comme certains du principe que « Mon professeur était le meilleur, et moi je suis le meilleur après le professeur mais vous serez toujours moins bons que moi. », où arrive-t-on au final, ça n’a pas de sens.

Il faut bien sûr être très rigoureux sur les bases et les principes mais toute chose évolue, c’est un processus naturel et il n’y a pas de raisons que l’Aïkido ne le suive pas.

NB: Pour lire l'interview en intégralité : cliquez ici
Pour voir la liste de DVD et livres de Tissier : cliquez ici
Site Officiel de Tissier : http://www.christiantissier.com/

Les 7 ... 7ème Dan français :
Il existe sept 7è Dan français :
- Christian Tissier,
- Franck Noël,
- Mariano Aristin,
- Paul Muller,
- Bernard Palmier
- Alain Guerrier,
- Patrick Bénézi,

Auquels nous pouvons encore ajouter Gérard Sachs, 7è Dan vivant au Japon.


Que sais-je de «Kobayashi dojos » ?

Yasuo Kobayashi Shihan (74 ans et 8ème Dan Aikikai) a commencé sa carrière d'Aïkido en 1954 à l'Université de Meiji. Il s'est inscrit au Hombu dojo en 1955 en tant que uchi deschi. Il a continué à s'entraîner là-bas jusqu'en 1969 jusqu’à ce qu’il a fondé son premier dojo à Kodaira, Tokyo.

Kobayashi Sensei a aujourd'hui près de 200 dojos au Japon, et il est responsable des clubs d'Aïkido de l'université de Meiji, de Saitama et de l'Université des sciences économiques de Tokyo. Il a continué à enseigner au Hombu jusqu'en 1972 jusqu’à ce qu’il a ouvert son deuxième dojo à Tokorozawa. C’est à ce moment là qu’il a décidé de consacrer tout son temps aux «Kobayashi dojos ». Maintenant « Kobayashi dojos» couvre le monde entier dans 15 pays, dont Taiwan, la Finlande, la Suède, Canada, USA, Brésil, Argentine, le Royaume-Uni et maintenant la Tunisie.

En effet, après un stage d'uchi deshi de deux mois au japon en 2005 , maître Abdelaziz Boukhazna (5ème Dan) s'est vu octroyer par Yasuo Kobayashi Shihan le statut de représentant officiel du «Kobayashi dojos» en Tunisie et son dojo est désormais affilié à ce réseau international. Cette affiliation permettra à maitre Boukhazna d'octroyer des grades Aïkikaï mais le plus important d'élever le niveau de la pratique en Tunisie à un niveau international.
La philosophie derrière «Kobayashi dojos» et la raison de son succès est son ambiance familiale. Kobayashi Sensei disait: «Je pense que tout le monde vient pratiquer parce qu'ils se sentent bien après leur arrivée. Dans mon dojo les gens ne parlent pas et ne critiquent pas. Ils essayent juste de s'entraîner dur.» Les personnes agées et les jeunes pratiquent ensemble et après l'entraînement ils s'assoient pour boire du thé et passer un bon moment.
Au « Kobayashi dojos » la pratique est énergique et tous les niveaux s’entrainent avec les armes dès le début. Kobayashi Sensei dit: «C'est bien d'apprendre les armes et de s’y habituer progressivement dès le début de la pratique. L’Aïkido est né du jiu-jitsu et il englobe des techniques de défenses contre les attaques de sabre. je pense qu’à travers l'apprentissage des armes, les gens peuvent comprendre les mouvements plus facilement
Trois fois par an « Kobayashi dojos » organise des passages de grades au Hombu dojo. Le principal avantage de ce point de rassemblement est l’emplacement central du Hombu et plus important encore, il est le siège de l’Aikikai.

En 1987, le « Kobayashi dojos » a reçu un prix d'excellence en tant qu'organisation de la fédération Japonaise des Arts Martiaux. Cette fédération (connu sous le nom de «Kyogikai Nihon Budo») est constituée de neuf fédérations séparée tels que All-Japan Federations of Judo, Kendo, Kyudo, Sumo, Karatedo, etc., et l'Aikikai (pour l'Aikido). « Kobayashi dojos » a également reçu une médaille du gouvernement brésilien en 1988.

Souvenirs du Stage de Hiroaki Kobayshi à Tunis

Regroupement D'aikido

Quelques souvenirs du regroupement qui a eu lieu Le vendredi 15 octobre 2010, avec le club d'aikido du centre culturel d'El Menzah 6 dirigé par maitre Abdelzaiz Mokhtari.

La Méditation

La méditation, c’est à la base le fait de "méditer", donc simplement de réfléchir. Mais aujourd’hui, avec les approches orientales, ce terme désigne les techniques pour se vider la tête, pour retrouver la quiétude.

Des scientifiques se sont penchés sur les effets de la méditation sur le cerveau. Grâce à des enregistrements par encéphalogramme, ils ont pu montrer chez des bouddhistes que cet état de conscience entraînait l’apparition d’ondes cérébrales équivalentes a celles d’un sommeil profond. D’autres études ont montré que les zones du cerveau responsables de la concentration éveillée étaient allumées. Ainsi le cerveau serait à la fois dans un état de repos extrême et de concentration très forte… un état paradoxal qui serait bénéfique.

Les vertus de la Méditation
Bien sûr, la première vertu de la méditation est de chasser le stress. Elle serait d’ailleurs l’un des moyens utilisés par les habitants d’Okinawa pour rester zen… et devenir centenaires ! La méditation a également un impact direct sur le corps. Ainsi, une étude a montré que la méditation pouvait doper le système immunitaire, permettant ainsi de limiter les infections. Une étude a montré les bienfaits de cette pratique pour le système cardiovasculaire : les "adeptes" de la méditation avaient une tension plus basse, un coeur plus lent, et leur profil lipidique était meilleur. Des vertus confirmées par des travaux américains.

Les différentes tehchniques de méditation

Il n’existe pas une mais plusieurs techniques de méditation. Chacune repose à peu près sur les mêmes bases. Parmi toutes les méthodes, signalons les suivantes :
·Bouddhique : cette technique codifiée n’a pas pour unique but une simple relaxation. La méditation quotidienne est un exercice pour atteindre la sagesse ;
·Zazen : cette méditation est un travail sur la posture et la respiration, apparentée à la méditation bouddhiste ;
·Transcendantale : celle-ci part du principe qu’il y a quatre niveaux de conscience : sensorielle (sentir notre environnent), de soi (de son corps), la conscience au sens strict (notre esprit) et la "conscience absolue", qui transcende toutes les autres. La méditation permettrait d’atteindre cet état ;
·Yoga : le Yoga n’est pas bien sûr uniquement une méthode de méditation. Mais cette pratique inclus des exercices similaires.

A vous de choisir la méthode que vous jugez la plus adaptée.

Des exercices faciles
Vous pouvez faire quelques exercices simples :
·D’abord, installez-vous dans un endroit calme, où vous ne serez pas dérangé ;
·Essayez de mettre une lumière douce (bougies) ;
·Installez-vous confortablement, assis;
·Fermez les yeux et, détendez-vous, écoutez votre respiration ;
·Essayez de visualiser une image ou pourquoi pas, regardez une reproduction de tableau qui vous parle ;
·D’autres techniques proposent de visualiser chaque partie de son corps, d’en prendre conscience les unes après les autres, en partant des pieds ;

Les techniques de relaxation peuvent-vous compléter la méditation, pour vous aider à vous détendre. L’idée et de ne pas penser au travail, aux contrariétés ou a des choses de votre quotidien. Essayer de rester dans cet état de calme un quart d’heure, chaque jour !

Echos du notre Uchi Deshi

Voilà-en images- les dernières nouvelles de notre "envoyée spéciale" Afef au kobayashi dojo : les images montrent bien que notre uchi deshi est encore vivante et elle résiste au régime intensif d'entrainement quotidien.